Ce chapiteau provient de l’Église Saint Jacques d’Abbeville détruite en 2013.
Avant d’être broyé, il a été préservé par l’équipe de l’Association de sauvegarde de l’Église de Dreuil. Maintenant placé sur un bloc de pierre de la carrière de Saint-Maximin dans l’Oise, ce magnifique chapiteau démontre le savoir-faire de nos aïeux du XIXème siècle et la beauté de leur
travail. Il ne soutient plus la voûte d’une église mais demeure un témoin et participe à l’animation du jardin.
Avant d’être broyé, il a été préservé par l’équipe de l’Association de sauvegarde de l’Église de Dreuil. Maintenant placé sur un bloc de pierre de la carrière de Saint-Maximin dans l’Oise, ce magnifique chapiteau démontre le savoir-faire de nos aïeux du XIXème siècle et la beauté de leur
travail. Il ne soutient plus la voûte d’une église mais demeure un témoin et participe à l’animation du jardin.
Ces quatre pièces de fonte formaient un cercle qui supportait une plaque tournante sur lequel les locomotives à vapeur faisaient un demi-tour. Elles ont été retrouvées dans l’ancienne gare d’Airaines, cassées et enfouies dans le sol. Au
lieu d’être restées enterrées et disparaitre dans l’oubli, elles ont
été redressées et s’érigent maintenant vers le ciel pour une
nouvelle vie.
Dalle du futur bloc sanitaire
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