
samedi 31 décembre 2011
jeudi 29 décembre 2011
PRUVOT - CANDAS construction de machines Agricoles
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PRUVOT - CANDAS |
Catalogue vers 1925 - 1930 - L'usine de fabrication se trouvait rue Saint Denis, sur la place du Commandant Seymour actuellement. Après Guerre, L'usine sera reconstruite rue du 11 novembre ( actuel CAPP SHOP) Établissement GAVOIS.
Photos Fonds Rouillard, Olivier et Touzard
vendredi 23 décembre 2011
lundi 19 décembre 2011
Site de PIC Industrie (Nitrolac) fin de vie.
Clap de fin!... Stop à la gabegie!
Suite à la visite de Monsieur le Préfet de Région sur le Site, Je vous donne ces informations :
C'est toujours le liquidateur ( l'État pour ainsi dire) qui est propriétaire des murs et du terrain .... près de 4 ha.
"Raser tout ça!", ce fut les paroles rapportées de Mr le Préfet.
En effet le site est devenu complétement insalubre et dangereux.
Il est désormais acquis que jamais l'État ne mettra plus un centime pour dépolluer le reste du site et rebâtir un semblant d'industrialisation ou de commerce.
"Alors et maintenant... que vais-je faire?" comme dit la chanson.
Des millions d'Euro ont été dépensés par le contribuable Français et Picard pour en arriver là.
Je ne veux plus entendre parler des responsabilités qui sont désormais derrière nous.
Il faut mettre de l'intelligence et une vision d'avenir pour ce problème. Il faut écarter toute manœuvre politique car les décisions qui vont être prises, engagerons la vie des Airainois pour des décennies.
En tant qu' Airainois et contribuable, il est de mon devoir de proposer certaines choses:
- raser ok! pour faire quoi...?
A ceux qui pensent faire des habitations, je les mets en garde. Avec les normes d'après industrialisation et pollution au métaux lourds et pour faire des logements, il faudrait dépolluer le sous sol sur plusieurs mètres sur toute la surface... C'est irréaliste , ou c'est encore une chimère.
Par contre, c'est une occasion unique pour repenser notre centre ville; c'est l'occasion de modifier les erreurs de la reconstruction et de faire un échec , une avancée!
Il ne faut pas réagir à l'emporte pièce, il faut réfléchir. Il faut aussi du courage et une vision d'avenir.
Sans courage, pas de progrès!
vendredi 2 décembre 2011
Le 02 Mai 1940
En ce 02 mai 1940, le 53 ème régiment d'infanterie coloniale devient le 53ème régiment d'infanterie coloniale mixte sénégalais.
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Le 53 ème RIC est un régiment à 3 bataillons ( environ 3000 hommes). Courant avril 1940, 1500 "blancs" quittent le régiment et ils sont remplacés par des "sénégalais"qui viennent du camps de Souge à coté de Bordeaux .
Puis c'est la période "amalgame" et le 02 mai 1940, c'est la parade de présentation au drapeau des sénégalais. Le régiment est alors stationné à Rougemont dans le Doubs.
3000 rassemblés dans un pré, 1200 d'entre eux mourront dans un mois à Airaines et dans les environs.

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Le 53 ème RIC est un régiment à 3 bataillons ( environ 3000 hommes). Courant avril 1940, 1500 "blancs" quittent le régiment et ils sont remplacés par des "sénégalais"qui viennent du camps de Souge à coté de Bordeaux .
Puis c'est la période "amalgame" et le 02 mai 1940, c'est la parade de présentation au drapeau des sénégalais. Le régiment est alors stationné à Rougemont dans le Doubs.
3000 rassemblés dans un pré, 1200 d'entre eux mourront dans un mois à Airaines et dans les environs.

Voici la garde au drapeau , en ce jeudi ensoleillé. Photo exceptionnelle montrant les sénégalais coupe coupe à la ceinture.
En 1941, il sera rajouté "AIRAINES 1940 " sur ce drapeau. C'est un fait rarissime pour la campagne de France de 1940.
mercredi 30 novembre 2011
Le Capitaine Fougeirol , capitaine du 53 eme RICMS

Le Capitaine Fougeirol sur sa jument "Ginette"
photo prise au printemps 1940. Chef de la compagnie de
transmission du 53ème RIC, qui deviendra le 53ème RICMS le 02 mai 1940.
Il arrive à Airaines le 04 juin 1940 et il est fait prisonnier au PC du régiment au Quesnoy le
5 juin 1940 avec tout l' état major du régiment.
J'ai eu la chance de pouvoir consulter son journal de guerre... édifiant!

photo prise au stalag II B en Poméranie, en janvier 1941
de gauche à droite
Lt De la Place, Capt Fougeirol, LC Polidori, Capt Hélènne et Lt Cartier.
Le Capt Hélènne est le chef de 6ème compagnie du 53ème qui se bat durant 3 jours sur le marché , centre d'Airaines. Il est fait prisonnier le 7 juin avec le restant de sa compagnie.
Il porte sur son calot l'insigne du 53ème RIC que j'ai pu me procurer.

mardi 22 novembre 2011
dimanche 13 novembre 2011
lundi 31 octobre 2011
N'Tchoréré.... 2 mai 1940
jeudi 20 octobre 2011
mercredi 19 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
Médaille de la ville de Kriftel pour Trois Airainois
Samedi 8 octobre 2011, à l'occasion du 30ème anniversaire du Jumelage, la ville de Kriftel, ville jumelée avec Airaines a donné pour la première fois de son histoire, la médaille d'honneur à Henri Germey ( donnée à Airaines le 30 /09 pour des raisons de santé) , Hubert Bonnard et à François Rouillard.
Les 3 récipiendaires sont devenus de fait des Kriftelois.
Les 3 récipiendaires sont devenus de fait des Kriftelois.

mardi 27 septembre 2011
pour Ché ratcheu fin!
vendredi 24 juin 2011
Attaque de pithécanthropes au Prieuré d'Airaines
lundi 20 juin 2011
Place du 53 ème RICMS
jeudi 19 mai 2011
Tout s'explique... le relais de poste à Airaines.
La semaine dernière, j'ai fait une découverte.
Je pensais depuis toujours que le relais de poste principal d'Airaines se trouvait rue Aristide Briant à la droite de l'écu de France ( ancien magasin de vente de chaussures) . J'avais souvenir d'images avec des diligences . Mais comment faisait il simplement pour abreuver les chevaux?

Je savais qu'il y avait un relais similaire à l'angle de la rue Vieille chaussée de Paris, de
la porte de la ferme de Mr Péchon, la Maison de Mr Isaac et à l'angle la maison de Mme Michaut (ancienne auberge du cheval blanc).


Et puis j'ai parlé de l'histoire d' Airaines avec le propriétaire de la ferme rue vieille chaussée de Paris, Mr Péchon. Il m'a montré la cour intérieure.
Il m'a assuré que cet édifice était un relais de poste mais il y a bien longtemps, du temps où la rue était la "chaussée de Paris". Mais cette construction est ressente, brique et moellons de craie ( 1850).
Cette construction ne colle pas avec l’époque du relais, porche bas, pas de trace de coup de centre de roue sur les cotés des montant du porche.
Et puis je suis retourné dans cette rue .... et alors j'ai fait une découverte.
Il faut bien regarder la configuration de la rue et cet arc de cercle que forme les maisons de l'autre côté.

Pourquoi cet arc de cercle ? Ces maisons sont les plus anciennes d'Airaines, assurément vers 1800.
voir le plan napoléonien

et puis je suis allé dans mes archives pour trouver une vue ancienne prise de la place de l'abbaye.

On peut y voir nettement la forme en arc de cercle.
Pour moi ça ne fait aucun doute , les constructions ont été faites pour permettre que les diligences puissent tourner et entrer dans le relais.


C'est d'autant plus probant que le pont sur l'Airaines n'existait pas rue vieille chaussée de Paris, il y avait un passage à gué et un "super" abreuvoir pour les dizaines de chevaux du relais!
Cet arc de cercle n'est pas arrivé comme ça; c'est le témoin "vivant" d'Airaines au temps des diligences....
Je pensais depuis toujours que le relais de poste principal d'Airaines se trouvait rue Aristide Briant à la droite de l'écu de France ( ancien magasin de vente de chaussures) . J'avais souvenir d'images avec des diligences . Mais comment faisait il simplement pour abreuver les chevaux?

Je savais qu'il y avait un relais similaire à l'angle de la rue Vieille chaussée de Paris, de
la porte de la ferme de Mr Péchon, la Maison de Mr Isaac et à l'angle la maison de Mme Michaut (ancienne auberge du cheval blanc).


Et puis j'ai parlé de l'histoire d' Airaines avec le propriétaire de la ferme rue vieille chaussée de Paris, Mr Péchon. Il m'a montré la cour intérieure.
Il m'a assuré que cet édifice était un relais de poste mais il y a bien longtemps, du temps où la rue était la "chaussée de Paris". Mais cette construction est ressente, brique et moellons de craie ( 1850).
Cette construction ne colle pas avec l’époque du relais, porche bas, pas de trace de coup de centre de roue sur les cotés des montant du porche.
Et puis je suis retourné dans cette rue .... et alors j'ai fait une découverte.
Il faut bien regarder la configuration de la rue et cet arc de cercle que forme les maisons de l'autre côté.

Pourquoi cet arc de cercle ? Ces maisons sont les plus anciennes d'Airaines, assurément vers 1800.
voir le plan napoléonien

et puis je suis allé dans mes archives pour trouver une vue ancienne prise de la place de l'abbaye.

On peut y voir nettement la forme en arc de cercle.
Pour moi ça ne fait aucun doute , les constructions ont été faites pour permettre que les diligences puissent tourner et entrer dans le relais.


C'est d'autant plus probant que le pont sur l'Airaines n'existait pas rue vieille chaussée de Paris, il y avait un passage à gué et un "super" abreuvoir pour les dizaines de chevaux du relais!
Cet arc de cercle n'est pas arrivé comme ça; c'est le témoin "vivant" d'Airaines au temps des diligences....

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